La levada du moulin.

Le pouvoir hydraulique, d’une levada à l’autre.

Une p’tite glissade de quelques mètres capable d’accomplir un travail.

L’eau n’est pas perdue, elle continue de s'écouler mais elle a réussi à moudre les grains des récoltes.

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Sur près de 300 mètres de dénivelés, plusieurs petits moulins étaient installés. Il y avait généralement deux meules, une pour le blé et l’autre pour le maïs.

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Ici, sur ces vestiges, on félicite DC et S de se témoigner tant d’amour!

Le long de ces hautes montagnes, au nord-ouest de l’île, les feuilles ont chatouillé les nuages et recueilli leurs larmes de rosée.

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De la noirceur de la forêt dense s’échappent ici et là des filets d’eau.

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Quelques laminaks, gnomes, trolls, farfadets, leprechauns, elfes et lutins nous ont certainement observés.

Des dryades peut-être?

Elle s’est enfuie au creux de cette fleur.

Elle nous appelle. Elle nous enchante, nous envoûte, nous hypnotise. Nous nous endormons…