Québec, l’intarissable.
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Cette aile du Pavillon Carlton-Auger de l’Hôtel-Dieu de Québec a été construite en 1969. Elle est de style brutaliste. On y retrouve le département de radio-oncologie. Le temps a déjà fait son empreinte sur l’édifice, ce qui le rend encore plus sinistre…
Les touristes ignorent généralement la basse-ville, au-delà des rues Saint-Pierre et Saint-Paul.
Et pourtant, c’est ici que la ville vit!
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Qu’est-ce que cette maison de la troisième rue à Limoilou a-t-elle an commun avec cette croix de chemin de la route Monseigneur Bourget à Lévis?
Les retailles de lames de patin de la St. Laurence Manufacturing Company. On se débrouillait avec ce qu’on avait.
Rien de tel qu’un mur pour exprimer son attachement à la CAQ!
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Les ruelles, quoique parfois négligées, sont un lieu de vie caractéristique. Il faudrait y revenir par une soirée chaude d’été.
Ce garage, au coin de la rue Hermine et de la rue Saint-Joseph O. présente une fresque étonnante de l’évolution de l’humanité. À droite de l’homme, près du palmier, l’artiste a peint une Donii (Dioné ou déesse mère), associée à la fécondité. Près de l’angle nord-est de l’édifice se trouve ceci:
En revenant à Lévis, j’ai été étonné de l’extraordinaire qualité de cet auto-collant.
Vingt ans déjà!!!